vendredi 5 février 2016

Abomination innommable

  « Dans les années 60, ils avaient principalement programmé le catalogue de la Universal – les classiques en noir et blanc comme Dracula, Frankenstein, La Momie – et les Hammer en Technicolor – La Revanche de Frankenstein, Les Maîtresses de Dracula. Il leur arrivait de passer des films comme Le Voyeur de Michael Powell ou Freaks de Tod Browning, considérés aujourd’hui comme des œuvres d’auteur, mais qui, à leur sortie, passaient plutôt pour des abominations innommables juste bonnes à être censurées, qui ne dépareillaient pas au milieu de L’Etrangleur de Vienne, L’Etrangleur de Boston ou Le Bossu de la morgue. »

Jacques Thorens.- Le Brady : cinéma des damnés.


  Sorti la même année que Psychose, mais n'ayant pas eu le même succès, et censuré. C'est Scorsese, dix ans après, qui l'a ressorti pour un festival. Par certaines ambiances, et certains thèmes, ça m'évoque un peu Blow up... L'Angleterre, les sixties...

Ma dernière actu ciné.

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