vendredi 21 juillet 2017

La dose de Wrobly : messidor 2017 ère commune

   Il est quand même temps pour Wrobly de prendre un peu de vacances. Déjà un mois d'été passé, et voyez ce qu'il a lu : quelques nouvelles et de menus articles pour finir, cette fois pour de bon, certes, les oeuvres romanesques complètes d'un écrivain qu'il affectionne, mais enfin, quelle portion congrue, quelle peau de chagrin ! Il baisse, comme sa vue... Alors une petit peu de campagne, son petit coussin et une pile de livres géante lui fera du bien.


   Ces dernières nouvelles de Marcel sont une friandise bienvenue, après les envolées mystico-dépressivo-paranoïdo-addictivo-suicidaire d'Artaud, même si ce dernier à parfois des fulgurances burlesques assez poilantes. Un garçonnet qui ment pour se faire des copains, Samson écœuré par sa force et la vénération qu'elle provoque, monsieur Tout le monde humilié  par la classe dominante dont il aimerait se rapprocher et mécontent... je retrouve avec plaisir cet univers du jurassien qui ressemble au nôtre, mêlant tendresse, humour et férocité et sachant extraire de la poésie et de l'insolite de situations banales. Parfois j'ai l'impression de déguster un dessin de Sempé.


En appoint de cette bibliographie étique, je vous mets mes tubes de l'été :

   - Stan Getz et Bill Evans. Je me régale d'avance (pas eu le temps d'écouter).

   - Les Noces de Figaro de Mozart. Idem.


"Mack ! mack ! chomp ! chomp !" Allégorie : Wroblewski se nourrissant de littérature, faisant son miel de musique, dans une orgie de tranquillité, à l'heure exquise qui le grise, tout en laissant respirer son popotin.

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